Ce jour là… J’ai pensé que la naissance d’un monde d’éveil et de conscience frappait à notre porte

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Se rassembler, s’unir à travers nos ressemblances, s’enrichir de nos différences, s’élever en conscience pour contribuer à un changement de comportements dans le monde. Et surtout pour montrer que rien n’est jamais une fatalité et que tout peut évoluer positivement.

En 2012, je sentais que des choses étaient en train de changer dans ma vie et dans la vie de manière générale. Après 7 belles années passées en Guadeloupe et 2 années sabbatiques, je décidais de rentrer en France. Comme dans toute période de transition de vie, j’ai expérimenté ces moments où nous n’avons plus envie de poursuivre ce que l’on faisait avant, mais où l’on ne sait pas encore ce qu’on aimerait faire maintenant. C’est durant cette période « creuse » qui laisse le vide s’installer et travailler en nous, qu’a émergé le désir d’écrire. 

Toutes et tous porteurs d’une partie de la solution

Je me suis mise à coucher sur le papier une vision, ma vision qui portait, non pas Le fruit de LA vérité, mais simplement le germe d’un enseignement que la vie était en train de me transmettre. 

Il paraissait plutôt évident de nous « vivre », et de voir les autres comme « une partie de nos problèmes ». Mais la vie m’ouvrait les yeux sur le fait que se plaindre de tout était un choix et non une fatalité ! Nous avons toujours été libres de nous « vivre » comme « la partie de la solution » face à toutes situations. Et cela change tout à l’équation !

La conscience d’être une pièce du puzzle, reliée au destin de notre humanité devenait de plus en plus claire. Assemblées, ces pièces permettraient de donner naissance à ce quelque chose de plus grand que nous que nous appelons « la société du 21ème siècle ».  C’est-à-dire cet espace que nous partageons et que nous avons en commun. Nous sommes tous porteurs d’une part de cette humanité. J’ai alors décidé de nommer cette vision : La Grande Fabrique des Richesses de l’Humanité. Convaincue aujourd’hui qu’une conscience nouvelle est à notre portée. En train de re-naître, elle nous « rappelle à l’ordre », nous demandant de nous souvenir de qui nous sommes. Elle nous invite à nous libérer des conditionnements de toutes les institutions qui nous ont dressé : la religion, la politique, l’éducation, la culture etc. pour nous souvenir que nous sommes des êtres spirituels ET humains. Et qu’il est important aujourd’hui de recréer les conditions de notre union intérieure. 

Durant cette période, j’ai recontacté ma foi en la vie, et une sensation de confiance et d’optimisme en percevant que rien n’est une fatalité et que nous avons le pouvoir intérieur de tout faire évoluer de manière positive tout en contribuant à l’évolution de notre humanité. Qu’est l’extérieur si ce n’est le reflet de notre intérieur ?

Reprendre son pouvoir intérieur, s’encourager à agir autrement

Celles et ceux qui recontactent leur potentiel de création, autrement dit une partie de leur identité, savent qu’ils.elles sont les acteurs principaux de leurs vies. Exit les victimes, les sauveurs, et les bourreaux ! Nous portons en nous absolument toutes les possibilités de créer une vie à notre image, à contribuer à une société où la reconnaissance de nos ressemblances et le respect de nos singularités peuvent devenir le socle de notre émancipation. C’est ainsi en développant une conscience plus éveillée sur « qui nous sommes », que nous accédons à un champ infini d’opportunités provenant d’une qualité nouvelle de notre rapport à nous-mêmes et avec nos environnements.

En quête de sens…

Pour permettre cette évolution positive, un challenge nous est lancé. Celui d’avoir le courage de se regarder en face. Celui également d’accepter de faire évoluer nos angles de vue, de nous libérer de nos idées reçues, et de nos perceptions trop étriquées des évènements. Autrement dit, de  nous remettre en question. Pourquoi « courage » me direz-vous ? Parce que la plupart d’entre nous sommes englués dans des égos mal gérés.

Par ailleurs, en s’ouvrant à ce que peut être notre essence, en se donnant notamment le droit de sentir et de ressentir dans nos corps ce que le mental nous dissimule, nous ré accédons progressivement à notre être profond. Et cela est dangereux pour tous les grands dirigeants de ce monde, qui construisent des systèmes ingénieux où l’abnégation et la soumission sont la garantie de leur survie.

Réécouter notre cœur, entendre les messages de notre corps plutôt que nous laisser manipuler par un mental dominé par l’égo est dangereux pour les pouvoirs en place. Voici ce qui m’est apparu et qui est rapidement devenu, une évidence.

Expérimenter l’accès à toutes les dimensions de l’être

Contrairement à ce que le cartésianisme a voulu nous faire croire, nous ne sommes pas qu’une tête ! Descartes aura servi bien des générations de dirigeants. Car l’accès à toutes les dimensions de l’être permet l’ouverture de la conscience. Et donc, la possibilité de sortir des voiles de l’illusion. Cette manière de réinterroger par les sens, la direction et le sens que peuvent avoir nos vies ébranle l’ordre établi.  C’est pourquoi j’ai eu envie de partager ces regards différents et enseignants sur nos comportements, comme un éclairage permettant de reconsidérer certains de nos vieux schémas de penser et de nos idées reçues pour s’en émanciper.

S’affranchir des idées reçues et de nos conditionnements

  • Nous pouvons aujourd’hui faire de la politique autrement,
  • Nous pouvons aussi faire évoluer nos modèles déshumanisés de management en entreprises,
  • Nous avons aujourd’hui le pouvoir de nous libérer de nos croyances limitantes,
  • Nous pouvons aujourd’hui individuellement et collectivement changer l’énergie qui interagit dans notre rapport au monde, notre relation à nous-mêmes, à l’autre et à la terre,
  • Nous pouvons accéder à un véritablement épanouissement de nos vies,
  • Mais, si c’est ensemble que nous pourrons contribuer à la construction d’un autre modèle de société, l’histoire de ce changement commence par un engagement personnel dans la voie de notre propre évolution individuelle.

Dire un grand OUI à la vie, comprendre ce « je suis la vie », c’est accepter le changement, la guérison, c’est accueillir la non résistance, accepter ce qui est et s’engager à faire évoluer, en partant de nous-mêmes, nos propres schémas de pensée. C’est se libérer de nos endoctrinements. Tout le monde peut devenir un de ces « leaders » guidés par son cœur . Des leaders inspirés et inspirants qui deviendront au fil du temps les 1ers ambassadeurs d’une nouvelle manière de voir le monde et d’y contribuer positivement.  

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