Ce jour là…. Je me suis demandée « quand allions-nous renverser le monde ? La réponse fut : Bientôt !

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Prendre le chemin qui conduit à soi est en train de bouleverser l’ordre du monde 

La seule chose qui soit permanente aujourd’hui,  c’est la certitude du changement… 

Je suis née dans un pays, la France, dominé par la toute puissance de « l’intelligence », du QI, du niveau de nos diplômes et de notre statut social. Un pays inspiré par Descartes, la rationalité de l’être : « Je pense donc je suis. » Je suis également née à une époque où le diktat de l’image, la performance du « sois le meilleur »,de la consommation à outrance et du temps de « l’urgence » devenaient nos « conditions » pour exister. Dans cette course folle de nos vies qui embarque nos corps de plus en plus fréquemment, ils nous posent ses limites (maladie, burn-out, etc.), à défaut d’avoir été écoutés. Comment trouver notre place dans un monde perché sur un modèle où la recherche de liberté (Mai 68) flirte avec la construction d’une société qui s’est programmée – malgré elle – à réduire bien des générations à une soumission docile et inconsciente, nous rendant parfois « assistés » ? 

En aparté…  J’ai toujours eu horreur de l’injustice… Sans doute parce que moi-même, étant petite, j’ai vécu et observé des injustices, mais aussi parce que j’ai toujours ressenti, au fond de moi, qu’une partie d’entre elles ressemblaient en finalité à de l’abus de pouvoir déguisé. À l’école comme lors de mes premières années au sein d’un cabinet politique, j’ai souvent été sidérée par le nombre de personnes que je côtoyais, qui confondaient le pouvoir que leur conférait leur mandat pour agir avec une forme de « domination » symbolique sur les autres parce qu’elles avaient un titre.  Le premier, Directeur de collège, du haut de ses 1m90, nous obligeait à nous plaquer contre les murs et à baisser les yeux lorsqu’il passait dans l’établissement (je rappelle ici que je n’ai pas 70 ans ! Donc, c’était hier sur l’échelle de l’histoire de l’Éducation Nationale). Perchée sur mes 1m60 et non encore consciente du « risque » que je courais, je le regardais toujours droit dans les yeux lorsqu’il passait. Disons que c’était plus fort que moi. Jusqu’au jour où il convoqua mes parents pour leur annoncer la mauvaise nouvelle : « votre fille est une petite effrontée. » N’empêche, heu-reu-se-ment que j’ai eu la chance d’avoir les parents que j’ai eus ! Par la suite, mécontent de ne pas avoir été « suivi » comme il le voulait, il nous a de nouveau convoqué cette fois-ci tous les trois, pour nous partager sa sentence :  : « votre fille n’arrivera jamais à rien, il faut la sortir de l’école et la réorienter. » (J’étais en 3ème.) Avec des parents sans doute un peu accrochés à l’illusion de la « réussite sociale », mais aussi conscients que chaque enfant a le droit d’avancer à son propre rythme, j’ai poursuivi mon chemin au lycée. Puis, au fil du temps, je suis devenue Docteur en Sociologie.  Le second, un conseiller régional. Enfin, je parle de lui mais en fait, vous n’imaginez pas combien ils étaient dans ce cas ! Un soir, en rentrant d’une longue et épuisante journée de campagne électorale, je lui propose de le déposer en voiture chez lui. Il avait payé le repas à tout le monde et je trouvais juste de proposer ce service de mon côté. Mais, non content de s’être fait ramener sous les fenêtres de sa femme, il tente alors de m’embrasser. « Mais qu’est-ce qu’il te prend ?! » J’étais hallucinée, voire un peu vexée. Sa réponse fut des plus simples : « Oh quand même, je suis conseiller régional. » Grâce à lui, j’ai pu confirmer cette sensation que les personnes de pouvoir ne m’impressionnaient pas. Et cela ne m’a pas empêchée de me sentir bien à ses côtés, mais aussi de l’apprécier. Chacun ses failles. N’en avez-vous pas de votre côté ? Faut-il pour autant vous disqualifier ? Ce qui était important pour moi, c’était de ne pas tomber dans le jeu de la séduction dans lequel des femmes aussi (eh oui !) se laissent embarquer. La fin de l’histoire, c’est que j’ai même eu envie de les aider.  J’en ai fait mon métier. 

Hier encore ponctuelle, cette sensation d’être dépassé(e) et quelque part engourdie est devenue un phénomène de société. Elle se répand et devient désormais l’un des freins majeurs au bon fonctionnement de nos économies, frappant en plein cœur les entreprises, les organismes publics et leurs managers. « Mal-vivre » au travail mais aussi en société, crise des repères, perte du sens des actions et démotivation généralisée… Ces signaux manifestent le désarroi d’un nombre de plus en plus important de gens qui n’arrivent plus à faire face au rythme accéléré du changement.

Ce phénomène, démarré avant nous aux Etats-Unis et au Canada, arrive en Europe comme en Suisse. Tous ces pays se distinguent apparemment aujourd’hui de la France par une sensibilité plus grande, non seulement aux réponses que peuvent apporter de nouvelles disciplines basées sur la connaissance du fonctionnement de l’être humain, mais aussi à des générations de personnes et professionnels en développement personnel ayant suivi un chemin spirituel et d’éveil de conscience plus important que la moyenne. 

En aparté…  Aïe, Aïe, Aïe… Oui je sais, on me l’a déjà dit : « Véronique, tu t’égares. Tu ne DOIS PAS prendre le risque de parler de spiritualité. En France, c’est un gros mot. Ce n’est pas poli et en plus ça fait peur aux gens. » Et là, je me souviens encore de cet ex-collaborateur de Fabius, ami par ailleurs de longue date, me disant qu’il pensait que je filais un mauvais coton, très inquiet pour moi, me croyant embarquée par une secte parce que, notamment, je faisais du coaching et qu’il avait par ailleurs, avant d’autres, eu connaissance du projet de la Grande Fabrique des Richesses de l’Humanité. Un projet d’éveil des consciences. Quelque temps plus tard, après notamment une assez forte crise de sens dans ce qu’il faisait dans sa vie (son travail), il fera le choix de se former et de devenir coach professionnel ! Intéressant. 

Prendre le chemin qui conduit à soi est en train de bouleverser l’ordre du monde 

En prenant la direction de soi, ce qu’il y a de magique, c’est que souvent, ces personnes s’aperçoivent au fil du temps que les « grands », ceux qu’elles considéraient généralement comme « en-dessus d’elles », autrement dit, les personnes qui détiennent un pouvoir, sont en fait bien souvent à la hauteur de leurs considérations envers eux-mêmes et envers les autres. Autrement dit, assez « petits » finalement. Et ces personnes qui se vivent comme « en dessous de », les « petits », se découvrent progressivement des richesses intérieures infinies jusqu’alors inexploitées et si précieuses qu’elles n’auraient jamais osé l’imaginer. « Non… Quand même pas moi. »

Eh bien, SI ! Elles aussi. 

Alors oui les amis, prendre ce chemin personnellement, professionnellement, et spirituellement qui conduit à soi va bouleverser l’ordre du monde. 

Et si les gens se vivent encore en apparence « tout petits », c’est parce qu’ils se fient encore trop à leurs anciens schémas de pensée imposés, parfois dictés. Cette forme de « pensée unique » qui conditionne et enferme l’inconscient collectif dans des croyances limitantes permet quoi, si ce n’est pour un petit nombre de tenter de dominer le monde ? Pour autant, imaginez ce qu’il se passerait si, face à cette société de l’image spectacle qui nous gouverne et qui détruit à petit feu nos vraies valeurs, notre humanité, le plus grand nombre, les « gens » (électeurs, sous-chefs, salariés, chefs d’entreprise, professions libérales, mais aussi conjoint, enfants, parents, etc.) s’élevaient en conscience. Alors, ok, nous apparaissons encore comme étant un ensemble de « riens » insignifiants… Mais tout est en train de changer. C’est, en tous cas, ce que je ressens.   

Car j’ai une conviction. C’est qu’aujourd’hui la classe des leaders du pouvoir en place (en politique, dans le monde économique, financier et médiatique), cette classe qui nous gouverne et qui est aux « affaires » des pays, dans sa grande majorité est désormais totalement dépassée, déconnectée. Personne n’a jamais remis en cause le système de croyances sur lequel reposaient leurs propres vies.  

En aparté…  Petit message aux puissants: Entre nous, vous êtes partis où ?! On dirait très loin. Comme mis sur orbite. Moi parfois je me dis même qu’à l’heure actuelle, si la téléportation existait, on n’arriverait même plus à vous faire revenir sur notre Terre, sur cette terre nourricière que presque plus un seul « grand » de ce monde n’arrive à respecter. Vous êtes arrivés à acculer les gens à vous supporter, à devenir des acteurs passifs de vos tiraillements intérieurs. Vos débats sont devenus des spectacles, et je le reconnais, quand on a passé une bonne journée, ça peut nous faire rigoler… Mais quand même… Et vos projets de société ? Des coquilles vides de sens.  Pourquoi toutes ces erreurs ? Pourquoi cet acharnement à dominer, à maîtriser, à nous maîtriser, voire à nous museler ? Alors que vous ne maîtrisez même pas vos agendas, votre temps… Autrement dit, votre propre vie.  D’où vient cette peur viscérale de perdre le « pouvoir » ?… Qu’avez-vous fait pour prendre soin de vos égos, en conscience qu’ils sont bien souvent au cœur de la machine qui crée ce chaos ?  Vivez-vous en conscience de la violence symbolique qui émane de certaines de vos pensées et donc de vos comportements, de vos décisions et de vos actions ? Comment vous parlez-vous entre vous, dans les partis et entre partis ? À l’Assemblée Nationale et autres lieux de pouvoir ? Et comment voulez-vous que les jeunes qui ingurgitent cela à longueur de journée à la télé ne fassent pas la même chose ? Cette violence se répand.  Vos conflits intérieurs se reflètent à l’extérieur.L’extérieur est à l’image de vos conflits intérieurs. Vous êtes – je le rappelle ici – des LEADERS. Autrement dit, des personnes qui sont censées inspirer les autres et guider l’avenir de notre humanité.   

Le diagnostic semble sans appel. Les symptômes indiquent une déconnexion profonde à soi et donc, aux autres (à la vie des « gens », à une certaine forme de réalité) chez une majorité de nos leaders. Il y a non seulement de la friture dans la ligne – ce qui indique que deux entités s’éloignent. Mais il y a surtout une distance de plus en plus grande qui s’installe entre deux mondes. L’ancien et le nouveau monde.

L’écart est aujourd’hui si grand qu’il a atteint le seuil du vide. Alors cela ne me ferait presque pas peur si, derrière tout cela, ce qui est en jeu dans nos sociétés c’est le LIEN. C’est cet infini « rien » qui permet l’espace de la rencontre, du vivre ensemble et de la connexion à soi et aux autres. Nous souffrons toutes et tous actuellement de cette connexion qui n’arrive plus à être autrement que dans le détournement du pouvoir et ses abus sur les gens. 

Et pendant ce temps-là, d’autres, des « inconnus » plus connectés à eux-mêmes et donc aux autres arrivent ! Doucement, mais je vous assure les amis, sûrement. 

Il ne s’agit pas de « révolution » mais bien ici « d’évolution ». 

Qui sont ceux qui entendent aujourd’hui ce vent du changement ? Car il se fait entendre à toutes celles et ceux qui sont restés à l’écoute d’eux-mêmes. Ceux qui ont découvert, expérimenté, voire constaté la force de notre « QE » (entendez « Quotient émotionnel ») qui a le pouvoir de RÉ-UNIR face aux dérives de notre fameux QI (« Quotient intellectuel ») qui a la triste fonction aujourd’hui de nous DÉS-UNIR, de nous stigmatiser, de nous ranger dans des cases, de nous évaluer en fonction de critères définis par un petit nombre dont le modèle du monde s’organise autour de l’idée de tout mettre en œuvre pour assurer leur seule reproduction.

Un nouveau modèle du monde est en marche. Entendons-nous ce changement ? Le comprenons-nous ? 

A force de ne pas comprendre, de ne pas entendre, ce nouveau modèle du monde qui appelle nos responsables politiques à une plus grande clairvoyance, à force de nier, à force de se retrancher dans nos acquis et nos privilèges, comment ne pas faire grandir inexorablement nos «  blessures » collectives de rejet et de trahison ? 

Qu’est-ce que vous feriez, vous, si à chaque fois que vous vous exprimiez, les autres vous niaient ? À un moment donné, et bien vous chercheriez à vous PROTÉGER, à vous REFERMER sur vous, à EXCLURE l’autre pour être sûre de conserver une PLACE dans ce bas monde et dans la société. 

Bingo ! Les derniers résultats électoraux sont là pour, une fois encore, nous le montrer, nous le signaler, nous le crier. Mais cela semble ne pas encore suffire pour ébranler la conscience politique de nos leaders. Comme certains analystes le constatent, « on dit qu’on a compris, et on reprend les mêmes… » En voiture Simone, c’est reparti pour un tour ! 

Alors POURQUOI ? Beaucoup se pose en ce moment la même question : pourquoi on en arrive là ? Et on a beau, ce coup-ci, écouter nos experts et analystes, personnes ne dit jamais RIEN, pas un mot sur le ressenti des « gens », sur leurs états émotionnels et spirituels actuels. Personne, en politique comme chez les journalistes, ne semble plus rien comprendre à ce qu’il se joue. 

« Quand le sage montre la lune, l’imbécile regarde le doigt »

Cet adage n’aura jamais été aussi vrai. « Quand le peuple montre une autre direction, les responsables politiques et ceux qui, aujourd’hui, ont la « légitimité » de le penser sur la scène publique et médiatique regardent leurs nombrils. »  Des émissions entières sont aujourd’hui consacrées aux nombrils des journalistes et des personnalités de la télé. C’est le cas notamment de l’émission de Laurent Ruquier. Quelle tristesse quand on la vit ! Ce n’est qu’un ramassis de méchancetés, de combats de coqs et d’égos, de personnes qui ne respectent rien ni personne. Tout le monde parle en même temps, tout le monde s’insulte, devant un public démissionnaire et endoctriné face à ce triste spectacle qui enseigne à qui veut bien le croire, qu’« exploser » la tronche des invités est un jeu qui est drôle. Pourtant, cela s’appelle chez certains spécialistes de la psychologie humaine, de la perversion. C’est grave. D’autant que cela n’a plus aucun bon sens du point de vue de l’humanité et des valeurs qui devraient être portées dans ce monde en pleine mutation. Malheureusement, beaucoup rigole. « Ben oui, faut rigoler quand même » me diraient certains amis. Mais j’assume, au risque de paraître coincée !

 Il y a de la friture sur la ligne chers amis chez nos élus, leurs staffs, les journalistes comme chez nos analystes… Ceux qui pensent le monde ! Connectés sur une fréquence où ils sont désormais seuls au monde, ils sont toutefois en train de conduire le monde vers le chaos parce qu’ils ont une responsabilité publique. Alors, allez leur parler dans ce brouhaha de quotient émotionnel ! Voire pire… de spiritualité. C’est-à-dire de cet intérêt pour comprendre les raisons de notre venue faire sur cette Terre.  Je l’avoue, cela demande du courage de se poser ce genre de question ! Le courage de s’arrêter un instant, de s’écouter et de prendre en considération les messages de notre corps, de nos émotions et de notre cœur. Le courage surtout de se regarder en face. Mais face à cela, voici généralement leur réponse : LOL ! Et le combat reprend tristement. 

Certains, quand même, je l’avoue, vont avoir un éclair de curiosité… « Merde, c’est quoi cette connerie ? « ÉMOTIONS ? », « SPIRITUALITÉ » ? « IDÉES REÇUES SUR LA VIE » … Mais ne cherchez pas, Mesdames et Messieurs les « tout pensant », dans vos cahiers de notes de l’ENA. Vous n’y trouverez aucune ressource permettant de vous expliquer de quoi il s’agit afin de répondre à ce mouvement, juste humain, qui est en train de prendre sa place et qui, à plusieurs reprises déjà, vous a alertés. 

Car en fait, aujourd’hui, il s’agit pour vous de regarder à l’intérieur de vous, car c’est ici que se trouvent les réponses aux questions qui vous sont désormais posées. 

Faisons des stages de SILENCE et de ressourcement… RALENTISSONS et osons nous regarder en face. Ce sera le seul moyen qui nous permettra de nous RE-connecter avec nous-mêmes, de regarder en face QUI nous sommes. Car vous-même, savez-vous qui vous êtes ? Welcome home si vous avez pris le temps d’y consacrer du temps ! Vous prenez alors le risque de découvrir une toute autre histoire sur vous-mêmes et sur votre raison d’être ici sur cette Terre. 

Malheureusement, pour le moment, s’intéresser au sens de sa vie n’est pas encore remboursé par la Sécurité sociale. Mais, comme on est là entre nous, on peut donc tout se dire, non ?  Pour la plupart, ce n’est pas le manque de moyens financiers qui risquent de vous bloquer. Alors même si vous preniez le risque de ne pasêtre remboursés de cet investissement, on est plusieurs à pouvoir vous prouver que c’est beaucoup plus efficace et durable qu’une paire d’appareils auditifs ! 

Vous ne pouvez pas vous imaginer le plaisir que vous allez ressentir à vous reconnecter au monde, c’est-à-dire, aux gens et à voir autrement, à entendre à nouveau et ainsi à accéder, vous aussi, à la richesse humaine qui existe aujourd’hui en vos cœurs et dans le monde. Ré-accéder à l’amour. Cela ne vous dit pas ?!

Bien-revenus, vous cesserez alors de ne faire qu’analyser rationnellement et intellectuellement, en boucle, ce qui ne va pas en prenant en compte tout un tas d’indicateurs extérieurs à vous. En regardant à l’intérieur de vous, votre propre richesse, vous arriverez, vous aussi, à contribuer aux véritables solutions en comprenant que le véritable pouvoir ne peut venir que de l’intérieur. 

Alors, dépêchez-vous les amis, car le monde a besoin de vous, comme vous devriez avoir besoin des autres et de leurs richesses intérieures et créatives, à d’autres moments qu’en seules périodes d’élections ou pour faire grimper votre notoriété.

Est-ce que cela va être facile de se regarder en face, de faire silence, et cesser de chercher à paraître et d’arriver, in fine, à redevenir propriétaire de votre vie ? Certainement pas (sinon personne ne souffrirait de ne pas avoir de temps). Cela demande du courage. 

Est-ce que cela vaut le coup/coût ? ABSOLUMENT     

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